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l« irlicn li. r «lia |.o |.q lslio»» «lliieo lf» 'l ’Aflbliiri^ * • n e B is Ç r tto ^ . lv i J ^ s ô îre . e ic . . ' iee i «II' p ro p o se r e l d e t i i i e a ilp p icr U supprvïSTim «lo 1
i \ ,[ î ^ , q • < " ■ •i 'a i i s i ’S si>rs à M ore iiVal /o p p a rV iin e l aux sii-ers C U arpro .
Si s^iaiitto par UsasMnaiiccs, (toiii 2.5T5 fiuiic».
lie t i t i t i i i |i i i^ ^ ii i eù lies .^rtiHiléfe!
rau’-Uo
e l - m a ir e & A llu itt is . ^
opiiéiaire el maire a Loivri-I* lie eliaiivre à Nuymi.
jimpiègiie. ,,lullivateiir à Vinert'Saiiit*
liroii sur /gs âoi*sans/ tVsl-àulire de I .‘»0 iiiiUions.Voilà «Il aulfe membre «le la àlniitagnc, M. Gloxin. l'H
“eréir dn nom à l’aide d*uiie proposiiiôu immense an foi «1 4 c dans la forme» propose une fnxa somp/uoiri tur le^voilure» biatlre. c*e»l*»-üirc qo'il risque de i cduire à la mi-urc quelques milliers d*otivriei s cl de maîires carrossier», à Pari» Renlemeiil ( ).
Nous proposons, nous. et nous le proposons iiès-séri«o»*-ment, un impÎ5l doiil voici le principe-;
Ôn penli «au* craindre de se Irom per. évaluer a 3 million» an Inoins le nombre des élecieur» qui se sonl absicnus sans» motif» lé- gilinie», de prendre pari au vali'du..|3 mai.
Or, les Devoirs sont curiclalifs «le» Droils. 'Quiconque no voie pas, lorsqu’il le pcul, ii’esl pas «enlémenl m-
dignç dn lilre de ciloyen , il met encore en «pieslioii la siiicérilé du siifjPrage universel, ei en péril la sociéié niômé.
A Paris seuleroeni. QUATHB-viscT-nix sbpt miu.b îmliéciles ont, -----------da r leur abstention, l»if»sc passer dix socialislés, c’eal-q-dira - dix |-jeuijw-feioitte: lraTaillant'de||ai8 qnelqqes'jtfm R'a I n»i!ie.,aUail, en ennemis de l’ordre social, à Tabri duquel vivent, dorment el lan- qui|tûif son posle, demander qnelqiieicliosc à un ouvrier qui grais-
de Breleuil, el M. Kogeaii, curé do la ville. ^Parmi les personnes .qii’q j ^ rroagltiii^s ii celle l éréiiiouie, non»
citerons M. Sainic-Bcovc. l’iiii de nos lepréseniaM» i «•nommés, M. de Plaucy, nouvel élu, ci II. do Tailigny, membre «lu conseil gé>néral, ’ yjj.-i- '- iv - • ' / •
Le banquel'’a>u lien a Hréteuil. IL le soii^-préfci a porte un toast an Piésidenl de la Képublique. C« toast a é«é accueilli avec
i Taupin (j4cqnes-|ftaiiçi>is-AI«‘Xandr«'l
Buisseiit ces 97.000 ciciins.Nous proposons une amende de 50 franc# contre tout eleclepr
qui. sans motif d’excuse justilié et reconnu, matiqueraii a I appel dn scrutin. . . . . . . .
Ou frappe d’une amende de 500 francs loiil-juié qm nn vienl Via» siéger. ^
Nous ne demandons que 50 f«\ pour loiil électeur qqi néglige d’alfer voter. — Esi-ce liop? . . .
Si cette légi»laiiuii «ûi été en vigueur on 1818 , do deux cliose» l'une : , .
Ou le» trois millions d’cl»ticurs qui dan» tonte la F « t‘CC n ont pos volé, seraient accpiirus aux scruiins.el alors-on aurait vn si messieurs les socialistes n«* sont pas eïi France une infime minorité; vu ils auraient persisté dans leur abstention, i-t daii# coca,», 1 a- tnende de 50 fr, ne frap|âl*elU* «juc sur 2 millions, aurait produit IÔ0/)00,000 fr. MVtioiis-cn 50 si vous voulez. Ce serait déjà tiès'joli à^irendir par le temps qui court.
Ou il faut retirer le «iroit de vote à «les hommes indignes ^ e l’exercer, puisqu’ils n’en compr«*nnent pas les i|evoir», ou il. faut introduire dans la législation électorale une pénalité- analogue à celle du Jury.Si l’Assemblée législative ne rompt end pas et !»e lé- seul pas dans ce sens celle question capitale, elle uoos oiènera à lacôte, comme la t^onstilnaolé qui vient d’écbouer. '
(•) Nout penvoiu, noos qne •’it y aifiMi yMimeol do pairiotima aa Fraiica, une taxe fomptuatre «ur le» voitares de maître ne devrait pa* le»t fai^ lo^lrer, ao contraire, liln Angleterre, toa>« les iropôu qui pèsent sOr lei «bjeudejnie, loin de nuire au luxe , ne font que l’augmenter : cVst de la part det ricliet un ataenr propre bien entendu.
ce à n>'anvi.i«. t cidlivatturà Néiy. )
iiiis-Hippolytr). prôpVKImé c t-h tli l 'é ’à**^ilftMHI»iul-S- ^
Anloint'-Firmin) p ro p tié la iréà Cvm|>idgiiv. ’ * «>PiÛon(E ivn»rn). propriéiaite à Tdlé.' 'Géraid («Ican-Françoi») rciilioF à IV rlicrio.'‘Huiier (Loiiift-Narcisst) niarébaiiit de'^bl^ 'àj^léht'InrS.Ibd-gr-G* ffroy (Jeaii-Fraiiç>»is-L«uiis). uiarcl^aiid «le vins à Antau-
Vill«*lfi. ^Triibi>rl (dcan-naptisic) à La CIian8«ée#ilnfBois-d’Ki'«t.Murard (Loiiis-Deni*-). rHlnicani «le di'nlflteaàCluiuliMy.
'1loborifBé!lûi*-Aifgfî5lv);ntéiairé'h*17îrÂ^œi1if.Dntiioiii (Bmil\). cnilivati-ur a Krquinviller#.|'‘Kerit and (Hip^olyle). tirtipfiéiaiV^'à’ Vei dercl
I De .l<iiiqiHèr<s(Jei»ielVaplisie-l»idnr«). prnpriAaireà Versignv.— U» grave accident jpsI arrivé à Etouy. dan# la null de trin lrr. ci,éron (Sinioii- Françoi*^). propriétaire à Uretmil.
li-à samedi «Terttier, i la fabrique de carton de M. Cartier. Un«t I (A«ii!ii»tin EiCiUiun ) , luarchaud .deSi-liiffuns en gros» _ .___ III_......I .maav;,<M<kr -a- 'altnil ’«>il I" .. ■ . . / ^' B>‘»uVais. I
I Manche (Oliarfes-àjarie-Fitlèh*}. |icopriéiàire ij' Ciëié(Jeaii-Ftaiicôi»-Tièfr4‘)'.’culiivaïéo«r à J
i.aiiglel (Ad«d»pi ). cullivéiettr 1t Cauny.
Les «lansés qui ont suivi le banquel se sont prolongée» ]'i»q«t*» quatre beures du matin. ^
Leéiaîre (J.oii|is.Edoiiar4‘J i aji-B aptistr), îiii pflnis-et-cli|«is>ée# à ne'aiivai*. '■
àlieliél (Jeair-Papïisie-Féfis). propriétaire i Bauvaiq^^ j>gfiuli:«*'"(Ft«^re-Lihi'is)f,’ hnièsiér'a B*’âiivâis»Masson (J«'an-Nicolas‘,lut«>N), chef d e 'h u r« i# à la ^ léfeo lIlrS ide
Reàii'vais. î 'àlanger (C!i»ÿes-Fraiicnis*G»brlol), roarchani qnincaiH ier^bB ||ia*
\ IUaiécIial.(Nai'ct8»e-Ftaii^Ais), marchand de tWaps à ^ a n v a is .
Biiirur' cii;«lin |M^j^ea n'
V O Y O N S ! ! 1
Quel est le t^ésnllai net «les élections? C esl qu’H n'y » i >Im Hi F ran«.*e en cem<MneHi q«ie deux |»artis bien tranciiés ; Ics.rougesct. les conservateurs. -
• Ton» le» partis mixte» ont «lisparo, c’est déjà un avantàge.Où est maintenant la majorité? A Parta même qù-tf y » l-ÎB.fiOO
rouges contre 200,000 ctMiservoteura. Notez bien qM ppa oomfa^ de ceux qui voleraient pour les rouges ne le lontque par esprit il opposition; cé'sônt «les contrâriâiilsV mais iioiî de» roage»; parmi lesquelsoD ne les IroiiveraU pa», le jour du combat»
Eu province, le résultat est plus net encore. Cinq millions de voix coutre un million et demi ; "et en suppôTiîïi niêmé qiw fês républicains roo«léiés votent avec les rouge». '■
Où donc pourrait être le danger, s’ij y en avait? Nulle pari ailleurs que dans la mollesse de la majorité. .
Notez encore que les ronges, avec les «lé»illosîbns qd*atîlqn® temps, peuvent «leveuir conservateurs, taudis que les conservateurs ne deviendront jamais rouges.
— chambre des notnire» de l’arrondissement «le SefiYf», pour j 1849 1850, est aiusi composée :
VM.INcliëlel, iwlai)% àS en n s.itré sM ^Cliartier, notaii-e à Sfiilis, syndic;Alercier, notaires Précy, rapporteur;Demony, notaire à Senlis, secrétaire;Graux, notaire à Acÿ, trésorier;Caron, notaire i Gbàhtilly, membre;Franclie, notaire au Ptèssis-Belleville, ideai*
Mit lii machine, lorscpie, ■ iusulfi#amaenl' éclairée, 4:11e ae- seul rn< trai«iée-par î«s-êiigi*iiage»çëloiiffée presqu’âussitêl par FarrâeKe- méiit dé ses vêtement#^ ellé a à peiné eu le temps de'pqnsseï M«t c il. En iiiie.secomiei le» cîtairs-de-la tnoilié''vdn do$Vhroyé«^;avéc les vêtements, bonirnl la machine et l’arrêt«‘iïl presquei I.41 ponv^ femtne ïamaSk'ée nue, dam uH état .pilnyMb1«*. affreux^ fût anssilOt l’oJijet de» Soliis leSiplus empressé». I..a Vie'semblerait incompatible avre de pareilka ^lésordres ; si quelqiK» peut ai«l«r 4anature ei^l’art à lea réparer, c’fs lia ditinne-cousliliilioi» de la vif-- timé et le courage dont elle a fait preuve dan» cette terrible cir. constance. ' - - . ^
— M. Ciuquault d^velon. membre «lu conseil général popr le canten jlu. C,uùdray-S»i««i*Gi:« œe« , \ieul. de succomluir .à un«? maladie de foie. ' _ ,
M. «l’Avelon avait à p •M* qO'*trante an*. Il emporte dans la tombe l^esiime cl l'affi’iiinn de tou# cenk-q«» r«n»l c o n n u . t i t r e dont ses cotiriioyens l’avaient revêtu dit assez quelle était la considération dont il. jouissait «ians ce pays. . ■
.— On écrit de Bresie» ® la d ite dit 2 l mai.« Monsieur |e Ré«l»cteiir, ^
» d ’ai l’iioiinedr de votis prier d’insérer''la note sbivant® dans votre plus prochain numéro : -
m J<-ùdi.dêri|ier, ver» cinq beares du so ir, la foudreest tomMestfr le cl<>chér de l’églisr dé notre'commune ; ce u’esl qim «léûx _ ________ ______ __ ^heures plua lard « p iri^ i a^perçut d’uu commenceinent d*itie«îfidie-.| «xéciiiioti de là loi «lu 5 décem!à la naissaiice de la eroix, el,jS;jnale«îùurage «le qw(q«ife».pe^Q|t*’ 1 |eà opérations rcUtives à il#' biriUAtinii dune», la commune aurait eu bmi très-grande perte à déplorer. On I hommes sur a classe de 1818, aproui lien&ux éptâuesavait a pi-ine.sonné la floche d’alqritie, ,<iue les siènra Warcqux ,1 gaVoir : • * Vï(POfolas). Maillçf*rt:C*ugu»ti*); lésergeill jw jpr des pompiers. Bféi | |# Biablisémenl de I» soû#^rp|>ariitionment (Caslmii) père, Pillon'Gervais,_ Patin ÇVinceni), .1 meulal «itlruMea cantons, «'t.pubiicalion de(A Q ^ tr ) r t nsyi|ar<] (Jeéi>.LottTs}raM^ brigadierCôfq. :ny*,it Pouverlure des piH^.qljqr^.dit conseil «|et-deagèririarmcs-Lênihe* f i L 'hdiit, se sons empressé# ,■ au périF'j '3**'0ûvértt{rc de# oi>ératious du co dedo pl.pinb qui coulait constammfài atif eu* , 'ils par.yinreçt à Palde-1 g*'[téuploi^ des listes^-.de contingent carii dé pompes à jaislib et de ieriflgoés ; à te rendre màttres de I iii- I jy coutiiÿgent «lépartemenial, le 10 jnillt ceudie. • 1 ' I J -Si rbonneur de vous adresser l’arrêté
* M. I ^ w ré •: oii» MU louable empressement a -1 * 1 dé préfecture}, portant siHtfS^répariiiittn ent(vases SAC^s e t lé Mobilier de l’ l ls e drï uean «levaMifeor, et il n a l ling^Hi de hommes, assigné arr départi quitté lo-Ueu4»»HM»tre qu’a p i^ a^êire assuré qu’if u > a v a ii plua I e iié Jé M. le Pi;ésidérit dé In Rép«iblique. aqcqn danger. — ... - .
Ce dégai peut être évalué à environ 400 francs.Recevez, etc. . ' * L t iHûife ê*
(N* 73.) cutssK Di 18.48.-~ iKsiaccTioii.%ei.*iitu|,A DR 8 U.OIIO HOMUeS.
B>au'
Le Préjiti dt VOise, à MJd. les M‘sires^u dépt^Umi Alénsiciii le M#|çe,
U n a r r ê té i lu P ié s id c n t d e l à R ép u b liq r^ , r e n t l^ . le _ - IS tjjd i» !
n lin g d ilt d e
conthifg-nt |«‘tte ««urs-i
tévUi<^i; lévisiou, le
nnal |t6 iir f« suivarîlj' e j*ai flVlî» les éajil<
leiit par'^t’ai
Veuillez faire pnblierei affiïbéi'à la porif principale d ^ ^ ^ i rie, aossilôt àa r;éçepiiori •JVxemplaM'ç.eir- macard «fe- mon a n ê é
I qui accdrbi>agne la présente. ' Vous tro u e rez ‘
VILLE DE P0NT.SA1NmMAXENCE..
Vous trouéerez à la ‘suite de cette circul Ire l’arraié qi Fitiiiéraire dij conseil de.révision et fixe h-s ' rurs, l i^ x e/ de l’rxamen «les substitqjtnlset.remplaçan#.
-L’insti iictipn insérée uu Recueil des actes née.18.^5, paWs-234 et sutvant«*Si traite dé d. volonlairpj om éktaneemené' *appelT^â tath n , au remplacemettt» à dit ers cas tCex npûonp^de
59 «ri-SMl 4 r ^ n ,4 9 . | J . ,o n s |ir ir . Mun&i.u^ f ^rlerihcelti
I* t* . Dlm»nckt 17>4« k e t r a J t n ln t e .-. « * «— J * * » « ! — « « »
SoMih (cnle.
. l i n i i> i^ i i r . l |K n .OUI
A « x é to c tfw n i d e l ’Ô lw .
M euiiuin «l cher, Mnciloyena,C 'eslù vos lym p.tliie. p o u r r o rd re .i l . liherlé. i^oe jé dûi.Ja j
hsule mission qiio vous vcur. de me couGur par «le A ndttibéeiüisi lioiioroblrs suffrages. |
En vouspsprimaiii à Ions ma’recannaissanqf,ielm n(i|ipr,iM t pariicttllèrement mes anciens administrés de rarrondisaemonl de Glermoiii, de Peppni qu’ils ont bieii voulu p i^ e r à n e MUdidaiar,. perinp|t«'Z-inoi:de vous rép'éler. comme avant ma.uqmlnltibfaiiqtte I je m'efforcerai toujoura de répondre à voire conffinee,'rt ^Ue Uint .I c e q u e j’ai de force, «i’iiiU'Ilig.n'ce él de dévoiieiBeniV je,lé eennia crerai désormais à assurer pur de bonnes lois, la râppa ist b proa- petilédu pays. '
Recevez, mes cliera concitoyens, tues sincères rftueixiûieiits ei l’ezpression de ma considération distinguée,
Agnetz, le 52 mai I8«9. . P* PLSuctr,Rcprésenieul à l'Assemblée légishtive.
f o u r b lranamiMis«éqt:bMi|nei (Mrovioebl-tpii seirqraiw ,ui^ m p -d e - liâ t |^ j |( ’j ^ i b l f g m r a s e . ............
A reUiit!_(f tr iiM
Ëiécidé parSD mnsiciènfi u iis fa-îliiir, àu proGt;des pauvret.
■ flNate."-4* «MrntéMifn:, JéSmit'fcfree d t r tV t / t .-
■ ■ eaàpmmiaéNl'f»*»;Ail ■ Chaïop » de «tllarSu.
et trois Âeuret : - Æeiu M l
Sotu la tente,
* - On a répandu à plusieurs reprises le bruit de là mort de II. de Mornay. ■'
Noiis pouvons offirmer que M. de llarnay o est pas morl, qu il jr a une amélioration dansas santé, el qii'il espère lilaoibi renlier p.l’Assemblée avec toute son éiser^é. - , :
— L c . lè m l i , nn incèndie allribué à rimpèulfèàfke,'rdéirikit
t i s l i dn jury à la cout t fa tn i t ! pour la tetiitm dejnin..MM. , .
Chocns (.lean-l^ i.). propriétaire â Allichy.lÀrgrand7&'lrôpe.-Charlrsl, p n ^ r^ ta ilv è Atnblainvillo. -l^ id a a j0 iHétnfe.Achilie},Pirinéâl(N^oha},trpeMrntr)liGabneé, /ÔMnoià (Jtsn .na isp is),
tioli e t dé coi^moniqucr »c» dispositions aux utni'S | ^ s d • • appeléô, auisi que Ifs^xpltcatioiis ministé elles qlij sais
. A l t nqmeWlatiire «b’s oiililsiines qui con trent à'iFdrs droit aux fseinplioiis prévues parle» paragi plies nfihaé|fl 7* d e l’arlo 13 dé ta lol du Sl mars 1882, il f al ajouMfi'Irs qni. en éom ^lla iit pour'I* liberté dans I i j«>uriM^ d< I848,_sent morts on ont r« çu «les blessnrr& ui Ies^ren4<
.psbléé.dé .serxir dans l’année («lécri t «lu GMjverneqgqut pi «•a daté «lu l*t av ril! 848). ' ‘
Les nilitailrca.liés au aervice en te r ln d’n ij éngagijpent^ pifuconiAciéconformémepi|i|q décret «ht 31 m«r# I4H8, fèAtiiat F l e i ^ frè <>s l’exemption prévue p) le $ 6 ^”
Ep tffrt, Iq Im ayaal fixé à aept-ans la d u m du s ^ i c e (arl* 30®4 33. il n’est{pas^dontaHS qu’elle ' enien<6 -cette èbniKiipn d’un service de sept antiéq le frèAT aoÇgjR lIe coucèdalrdroU d’exempter SDii'frèrer' i l "
.U’rli.bienjenten.dUfeepenclam^e, paranU cath ikde cipéf, l’èXeiqplion est due à on jeune hon&e temps olile, que son frère, en p g é poor deiK a t i s ,{ ^ n i l& w « n 'F8é^lN7.^4<^®^*"F^^*®^ <^*brm itédêl’lr l .3 6 d q la ld ^ % rès avqirteiimifiéM precnièFe année. de.»ervke,1
Les hem m ^ qui font partie de la (^rdéljnationate eaverto d’engaêemeos ou derengagrmens, coiiWiiciés c ^ fo r^ m e n l à l^ar'rêté «lu Gouvernement provisoire du 25 Nvrier 1|N^ e * l’arrêté «lu Piêsidant de la .République do 24 jaiiliér 184^ ne sont pas liés an servile dans l|arroée; e^ couBéq«ieii|a, et c d m e d’ailleurs
[ les pnncipes|rapprlés^i-il<^8os,\concernau|Pa durée «le leur cnga- genienl, leui solil ajimicables /• ces bùmmM île confèrent.pas non plujh l’c«emrafon à leijr» fières.' ’ - 'S
La ldi do |2 inarsIBSI sur la garde natMpale, porte (art. 137) qhelcf g ÿ rd s nationaux blessés pour causejle service auront droii qOX sfct^raj élisions et récompenses que l|nloi accorde aux mili- lairês jrà~;pel{vité. ^
Ù^aVaotrecêié, I9 loi dn 21 mars 18.32 dispose dam son ar;
! i t 13 5 ■;') i 'i i ' ” IVx^itiflioM 8.T» o r in i Jéu à il.iiil un (.su;o i qii»U)é p a r laqui-lle nnu« b iil)i a a r .ii ii . iu U a « < tï) i i! lU A q r ,v if -S .iW .! ‘HW m . |.» f l .p , .S .o S (a ..w .P .o m |.l» .i .lé .■ à la r»ii»iii»iHyirJi>laâAiiic<i««'W'ie^aus«yii st’rv tiie coininaiiue, ou j n a i, f» l |ilii» p iu in p t n ic o re , b i ................ ....
Se le r r e o |i «le in eri ' A ’ W f» 'l'U I'*!"Siil'>«ele’ i5=IWMi('*WrtilW»t«t. *i>a le Ma prévii jiar„lfart. ,l37.()e,- [ej •«!»»(“ '
U lui dii 22 iuîit«''l83i .■ a«nr»'aai«ii'éa »«x n i i l i i » i r e « i < ! i i ,1,K'iir*, ivSfI" * > . . . . . .1 .1 . ..t ,a. . .«a .1 ... a a ..«.a À f . a t ' I tirJbC «lat la'Il• ils «<•! ttiMO M
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el bfpoiii tie pniétiiüti égfï4)i*, i|i ‘tiéiourMup.t ,ipiiiMic|iv.«iQi>p( Lquci^ MMo.ppIM*' |u« *••** ipiiiaüvc> laisse «siirper Ic HpjMn ocPs « i’eitl Tappfpl^sjpip que qiiainl il e*l
<léf454flimite celle linliiliiilv iVJIjt‘4: cpin|M'eiMieiil, que " x; qoç. Uésormais uiUie.
le «e aeivM n.i<in i — . •. « ....... , . . ....................... cmnlilioii île porter piiinr^aî'i'â 'ic 'ïîW a'w ivl^^^^^^^ i 'i 1 ê>' •’iM>!>er«l <-1 la preyoyaucd <*t»iSàirMi(Miurliii imliqu». aa
U aélèvM duuullèg .'* v«ia al y u»,r*,.pl« a»,Ii(|..^é.la..i. -«aur êirecomiUéaVil°lélîuélibiidiiVfciiiiiife.'hi'. i l co.i.iclÉuéaWwi»!' I in « A cuUI» attr, »i iiça»*yiqi.« l^ibniide de rapprocher iMèvéheeLoeilié* ; W...roriilémei.l au déelvl du b.«H(ernep.elil ,ptO»«IHl>nl.t. W M» p«ur'lM,«!udier, n.m» ut, « Noua paa aiisri^luniié» d« *o qui
dale lillSS a« il-l«< «r 'PI'**luireltl* Ictire de liuniiualioii el . pjpV' j <;| lim!».a«mprsnd|lQl« qlje le léaullal d.,l acrHlm du O inai l" n.pliplioD.lel’ar|ê|é,,uilji.||ifîii'hiy(i.|W>r.c*..fèrl'lc lilre.H’ è.vq; uV>M'Ua a.lire chose que 1, eon.jf,|jijriice de'ceUe poliliqub eiq
I cfliz les liniiilues q«i l*« jpniveiiieiM. il |m*ii lers ceux qui «’ii rp>è«flil l**â «eiiihUnIs. Il f-»nl -li.*
au plus tôt iiiai j^iirer iiiip polilique'ipi^ Ka«;lirqlIc.PSt, ce quVIle vriii, «-U
ùpmêiils îiouit OUI rohtlamiiés.a i qupllq lescl fixe leur nupjÇpp «|e elpsJ en çHl
pas accuippli h ç,î>e|il’c x p l u p i i ô n a l e M i V f ^ : J H- -..Î
Veuiürz «loiHier > ces explications la plus gramlf pubyaie.^. . Hecevcz. Mm^leui- Iç flaire, fai^ur^aiicf de «na cuüsideraliôii li
plus (listiiigiiée*.
paya tout eiilier. Aux habitants de'éc pays légal; composés' eii oM' jeurp payïiç dpjirppriëtaires et «lectwhinoçatils^nfédiocrpmenl aisés, il fùlUir Wiié politique càl'uMi, plutdi tiniide «pi^-fière au deborà,
A. Rsxdovin.
f JHH lieioeut • lit* Ifiid, Il II»’
plus ile gouverner par tiesfiuussesr par «le» aHerm«ieirt:*ul.s. p p' <I«'h iuiriguc.-; répomie «le Faclioii est arrivée. A l'aiul»c« qui l'.xi'Nn'e le nietisoiig'*, illfauf «qipuser |'éi»ergieet la véi iié^ aux jin»iii''S^ee fjllaciensüs. «!«•» auiétiuralioips réelle»; au «cuiîineui n^vnlufû'unai» ••
'q\li'süriVifrliu les plus nfativaises passions, le,.sri«limüiil uainmnlqui ft'npptrib sur 1rs passions, les plus iiohle»,
m Bii réxhniél f«irtiOi.*r le pniiroir en lut (Ibiiuatil uûê. base q«ii l«»t. fnaiiq«ie; pois s occuper, il'iiiie pan, avec «me solliciiutli* iuf«»»snnte de fartiélinriition du sort des classes «léshériiéer. d«’ r«ulie p«Mifr liailt tet fièrem*'Bl le drapeau iiâiiou-1, et» lare d«» rFurepe, i«*lsM»i»t à notre avis les' points essentiels et culmiuaiiiH «U la politique de V atenir. . . .
a Que^rAss^mldée législative entre résolument dans çi iH* voie: qu*ehe;.y perséVère , et tous les faiilAmes qin* |c «léfaut «l’act '* 1. — .»x---------1—.......... I»
A ü j îd K ; / .A N 'MWIy'‘«* ® J'*'” *ACreil. Ies»iné«li9.juiurô ll licuresilii matin; •A Naineiiil. le InM'U.Uijuiu, à I I»'*ure4e relevé» ;A Retz, le mardi I? ium< k M lu'ures d u .m a liu ; ..................A Çrépv, lemanli I2.i'»iu, à.3 h; ures d e nilevée.I,écotitiiigeiit poWr'Ieytitèndè Bt-ixesi de 24. sur 93 Inscrits;
M.»FourCrépy., de 31 119;Pour Natiiéuil,' d«* .It?' é'tr 72;P o q r Nciiilly*«;njT‘!|eji«*. de 23 sur 87;Pour Pont, dç I? mu 64;.Pour Sc jlls, èG^ui; ‘
(N* 7,3.) GLASS>X;0 1818. A PKL DB 80.000 OOMMAS.j «i(fAaTITt^n Dü\co.'«TlfiqBP»T. '
N««ns, Préfet du département de l’Oise, en conseil «|e Piéfei toïc, où élaiciit préseps ilU . Dahautoy» He S a in t4 .f^ fr ,d e Grirges €t
s'dccupàni^'tyant tout à riiitériehr dililévéloppenieiit'des intérêts r>qu*< . . .mat'érnds, exligéraut la jiru<lrnre'»iparqii*ilc«uiveiiaii Aecsiiitérètst I fait apparaître,'s’évanouiront; et quand I» u-*j'' , ^iMie politique en un mot,qui réiipiûm «ux iKsoina el aux iustinctx enfiu.qtié ses guides natur«'U ne lui roui point défaut, «pt iN c»..»-dé la niajurité tlM pBVs légal. . |ipr« ntieiil ses-bésoin» et çépondent a se» lusiiucis «dU m* s'u-» plus
à C esérail's ’ buseréiraiigementqqe tWcrdiri^liu^ilen iteratlé- «xposéoàie m itlre avcugiéiiient à lu leuiorquc d s «Ii.iHaiau^ «i
M f
9 "nvéïis
_ __.^>eréirangempnl-qtie tW<rdir(^4|U^____ . . ,..sorinais a||l^i tmus/l^einpiré iluisuffrage universel. Rien aveugles seraient ceqx.^qp'l... ne. seiitirMieiii |«as les modificafibils ipaofiindes
I qu’il doit fuicéuient anpurier dSns lu .politiqrte-.^^nérale-duVpays. r ^^jiu*^U^p|^iid^.rincnt à (a révolution dB-^février. elle a dû Vjnspirerttcs-ifiMincIsvï*-! lépoiidréîiièx bcsoiiia de là pH in de là nstipn qni« ■lo.rs;^élcvail et renversait' les minisières, de méine; dé^irmais, elle devrn lépoiidre |iux besoins,.et s’inspirer des iiis< linctsiie |% lNiq<diié «Jé/lit iialionl
des :tttopisles.P. DB, ru x -n v .
I - L«VI poiivqirs de l’Assenililé tonslîinant** cxpin-nt le dimam lie 27 à iqiiiiiit. et ceux de l’Assémblée IrègidatiCe c«»mmei:ceiit h- 2H. Les iqembres de la nouvelle Assemblée »'e réunirout en 3éi«n«e préparatiüre dimanche où lundi, aVani la séance pftbliqueM'our
tioii commep ro cu ren tniers sousréservr.conseils«radmin^trali.Mn d'èi^^cprp»«lu ^ -maùlia'iii lift «lé| ôi’s (Çirtùiairi mî* I *■, Uajs quâin) la )i>*lion toute ^lAlèlfé iiiterviétil «fans ses affaires;ntsieftélie dtt ik 'avril ) i * ' | quand, arniéé.dù'sùffrage univérkeliiftia pativreté devient eti quelque
Ç«*nX'qui auront, été coippr^s coipme absens dans le contingent, I '...i-v— i»;..îG;kiL; .t.. • .«& i . ...■ »>«.:...4 t . _ A..’-* ‘ .'/• ' tt§i ' Jttittmt t» mm.
Lg est la ÿ lé de fa situation, là « st tout le éecrct tique de l’avenir.
■ Qqeis sont ilonç ces be»oinA?*quels sont ces institicis? -telles sont les qiieiitio'ii» qu’il importe de se poser tout d’alionl;. ..aj,® pr'Biiei: Inrsuiii ..do la. sbciétè frafiÇ;Tîsé*''cifmmft dé tdute
société vivace, cVst l’ordre : l’ordre matériel et l’ordre moral, s»ns I , iei«qti« Jm ni stabilité,' ni progrès ^ riuiérieiir, sans lesquels à l’exié»I dépérissement et ruine de'.notre Influence^ Pour té|ioudrp à
ce besoin il faut fortifier et mieu^ asseoir le pmivoir.a Un antre besoin non moiii»!iin|)érii'UX de la société française,
coinme .de toute. Société libre;, cjesl la prugrè<i[; ici une explication
; » .L!^PjJ(^rèij;!^an^il combriiï, fSltouiiélleméHt défini, c’est f’anîmroiat.ipp sage.yt incessanlel de^ i'oiiiliiionfs générales de |a vie
......iü-'i-. -i* i.ic t. ....i. (rois points deirbpre dé loiilé
dssëisinit du pou* nom, de faire de
... . . ,....... .............. ..... .lal, daiis la satis'factfon 4^ ses besiiiiis et. le dév«-lbpfiénn'nt de' ies intérêts.
, ,, |. I former le biireéu provisoire. Le doyen «l’âge «le I» nouvelle AsHem*de ta poil- I Kératry , &zé «le pici de quaircvingis ans. Il «-st i.épic-»
ie 13 «léceinbrc 1769. M. ïla v e z . qiieqjqrlque»j-urÙM UxbM 'l dé-^a««é c o m m e d ev an t ê t r e f..rési«leiil «l’â g e , est n é le 21 «léceuibn* ITTtt. GVsL:dpit«^M. (KéraHy «îui p résider» sans d«»ulé aux pn-m iers t r a vaux «le l’A sseoib lée pendan t la vérification d«;s pouv o irs e t jus«p«’.l la co n stitu tio n «léfiniiive d e l’A ssem blée. Les m em bres b*s p ins jru - lies «l«i l’A ssenib lée qui poiiî r a ie n t 'ê t r e appelés au x fiiiictnm»^ «le secré ta ire» .so iii MM. R staucelin . qu i n’a que v ingt-cinq ans» (»s«i- l in c é n rt , F restieau , C bauffoor, «-tCk, e tc .
Parartêié du 19 mai, le général de brigade Pcrvot, est nont-mé, par iulé«im, coinmandaiit supérieur dis gardes nali«males dë lit S« inp. , f , ■
Le général Ohangarhiifr conserve- le commandement en ch**; «bs troupe» de toptes armes stationnées dans la première divisloil militaire. : ^
»l ru i l l « l l ï 'l IW» ,WH vu y A ----f f (f^*=Mt**«*-m*»ifctAiii«Üj».iliA lA B iv if . I q 19.)
Nous recevons «le.Giépy, la letlte auivpnte, qpe nous. poMlion avec plaisii t parco qii’vlle icspira le palrioiisipe et l’amour del’ordre el’-de la gloire : . { = ’ ‘
- ■ m Mon«iriir, , ‘ ^» Dans votre nuntéfO du 21 avril defni«-r, vous av«z bien voolu.
citervaveo AHs«8*«iii-i»a»sage -d*un«A-^brMliur« p|iblié« par moi ài i 'o i i ^ i t t ^ l i i î ^ w s l p r â c î l ^ le biit ’ i t de'signaler à-1 »«»uveul obreuvée de.ploire, <]iii à promené son drapèan «laiis toutesl’atietttibirdes élections» cérlaius dattg«jrs'qui ne nie paraisaènt |tas | le» capitales d«\ l’Europe? Nè «dmnieR«n«in» pas les fil»'et W liéri- .apprécié»! i. : • ' _
» AdjouriFliiii ^ne le scrutin, en faisant évanqnir bien des lUn* sionè, « vérifié mes crainit?»; oserais-jû ivous «leNiander asile dans voscololitie», pour qtielqùe» réflexion» qqi devro)it Mrvir.dc.çon*
Aux socialisfes quand mê.n«». aux ulopi^t«‘a qui fr«'ulpiil ra»«orl«- tion uuiVersvIlè »ahs »e préoctupcr d«!» anlagonis'ine» que l’iiil«*IH- grnce.oirla sottise, l’économie ou la dissipatimi, I»* travail on U fainéantise étabUsseiit taiaieim nl entre le» individiM'ItU?*. iioii» 2>u«i' mfttons la lettre suivante en l« » priant de vouloir bit-u «m prs« r les faitset eii dédtjire la morale^
« Mun»|enr,> Au moi» de février dernier» jai entrepris rexé«‘ution «le» tra
vaux de menuiserie d’auc maison eu construction n Ja pt oxinihc de» boolevartsi
• Les prix «lu «levis étaient tellement rétlnil», quutie eutrepriSi*Miuin de NapoléoirA»an9 <biut<ice I (^dg çouditions ordinaire» aurait été rniuense. :mViepuiais il manifestait Surtout, I ' , c e lte situation, j ’ai cm devoir réunir 20 à 25 ouvrioilt quiinstihct'«le gloire et d«« grandeur, I gp Indg travail, leur soumettre les lose» dùm>arrti«1
passé, W leur proposer <ren entreprendre rexéiiii ion par as-*«»cia- tioii, ne me réservanl à m«>i'même qu'Uue pxtt «Fonvrier dan» le.» bénéfices. ' ,
B Sur leur aèceptatlon« l’acte d’association dont )e voiis adn-sscci-joiiilune copie» été dressé. .
B Les travabx devaient être faits en 0 semaines; ils pouv.-ïieiil l’être, èt la joiirnée de clianin de nous serait alors rev> nue. tmil
(lè iiotiveaox liesoiiis s«‘ ma* auxqutds on
satisfaction.faut pas cher
qui en donne claire- ons pprter de l’élection dii.Ill dé*
cembrOvQ i’ést-Cft donc que cet ‘iilraiiiéineiit ubiversel, on peut le «lire; qui'«t'fail sdrxkr dé'd’unië I résultat Àfaùifes^ii'hn'bHoiii d’ il.faUt' àii’Oii lé éoVhpréhne; un insthict «le gloire et d«« grandeur, tm|19tis»Wlîle dàuWlé lOeur^du |eiiple, qui, par cela ^ u l. qu’il a fldoiiisà |idrdréiii»téribllemeiii, « st éminémiiient accessible à ce qui fUltO «’l élève le seniiineiit natio lal. Et comment en séraU*11 âiitré^ iiK’tit; jv Iti^demaiuli'? N« somn e»-iion» donc plus ceffe ttatjon si
lier» (ie e«'ile génération, nui a |pr«Hlig«A sang sur lés.cliaiAps «lëhafaillel'éi pbité si hani< l’honneur du nom français? E^t-'cé^que
I notre aimée toute entière, ne fi'émit pasnom français? Es\‘Cë que I compte fait, à 50 sou» on 3 fr.dVnthoilsiëMnéel d’éiuo* I ^M ais la paresse «les uns, la débauche de» autres, et* par suite, 1-*
"liquo«ligué et I ,jÿèouragemenj d« ♦ousi .ont tellement fait laiiguir les ii..vaux, u ^ u n le ^ui a I ^u’iU q’oiit été lermiuê» qù’au bqu^ de trois ipois. «•!. que I» journée' I deïWicunse trouveaujouril’hui réduite à è8 ou 30 SOU'!.
ial.iqq^aui^iéçitde^ie» guqr^s gjginlftMpif»?tinè poliiiqiio «ligué et plémeut • Ç»?ilê» que l’ai'pubfiéféavaiil'soli ouVeitupe. , . .|;fiète.gM4tfrP>‘» |teul;»eMle.(»Mr#ir au temt^roment d’pu ««• “
WA'DiiëoAebl9isem>*éllsigbélédtdéiBèft*rtq«'|lq«^pt^voy»oç«.,l «|e4el»jM»|ittC^r,td«^ftpblgWr^anlécéîliw. ' ____________________________Je «-ètlb'è nnft vâiiie ^iU$rijBlià(L tlldeitit-fitollt» Heureux qui. en I . b m», péri. <t l’ARserobtec législative sait comprendre ces I , L,orsq«ie lé» ouvriers ont connu ce résiiltal, le» «cJcs se smli pareille circèliélèAibé, S é p r é v i s i o n » ; m is .il n’est-1 i|^ce»Mlés, Iota «fe w’é|i»uvaiuer dés’éiétdtèt» des-éléctfons «1er* -I mouiée», j ’ai été insiiltér m**na«é, et, qn fju «1** compte, iraibutné» tnoppttrtnn.-éé me ècmble, d’e»*a jer'«fe ilrcrM’uii résultat qui ti .Mièi:e», -Je'^*en''applaudé« aî*.biPB plus têt. Sou premier soin devra | |e conseil de» Prud’homme» qui .m’a «lonné rni-ion.élôiihèevérrffaié bleii des éaprlts; deà ebseiguem«iil»“8alataire» qui I êtW-dé doÿilfél*'Ip’’^ une bawî large, sur laquelle le I , ce sdir que je dois pay« r à chicun ce qui lui rijvieiu,nui»»eii»é«;Ufr«rraveuir »tt'vxpliquant le pass^. •. * ’l'bbùyolr sofidément aSSli/»er»tt d黫frmai» à IIAri des coups de I , ijesmehaçes bruyantes sont faite»,le»unH«l«iiv**nt.ilis«*ni il-
»'Eh'qabiV»’écriail*oii'dé' toute» j>drt»,-une a^née à peine s’est. I aiqiù qui- inacssammeiil le meiiaeeulCi Ce pr*b>èine,'’xlifficile sans | porter'sur la iqaison qu’il» ont achevée et briser U-iiir .travaux, le»* -V 1-— - . . . — yfiç,'.Vèùnfe^ M est pa» lt|S(diibie, je l|B crois; et dans ma publication du I 101,1 inoL
.«a:& I |4 j*çilçjito4 en iu«Uqqéé l|Â é ll^vnls. . b Veuifez agréer, monsieur, etc.. -B|ÇeJé .fà|t,' Idtpt qe,vivP|lrait> faéilev La s?«;ié(^ «uratt il : ^ . a u » ExTafcPRsaeuB de MRstnscniR. <i
recjânqHlf la liberté d’isctinn qui bif fi&tiqnft tant £ l’intérieur qu’à !. ^ 4 ’,ijU^^|quÇ,]elle {|o|q‘rq|jl^^it»,b^ti^|ipnK,fVMn»'r«'«'l £• Piv/«ret«(r«^Çéhiftt, lkliG!«lt;h
‘ ■do.utaMo proWèfn«»4ùd>êtiii4iÿiqf,,AKf*li$'‘y.«ir* * ^ t ------
. r - r ; i x r
SiT T iJ
«C0 aIé<l'<<'rnU ré|i.Aqii<-«ù I, phpIililVon. fraiiç.is» ■ |iuo.}yrir.., . . . . . - j .polir 1« prrinièro tp*,. ^V eille i u , jiii'iU'.iiop» âMi.liftlp,, .» déjà | l4.m«^r.[. l ’. i t.çii.lé M rii iii<Uim« Ig i ^ e n l , .
Uadane Félicité Jaiispn, épouse de.cedfriiteri1849, eoregislré, conleuant trente aa profit de la | 5
veuve Bertambois; ~ 13* Ledit sieur &> rl»uiboiç; —'Ï 4 i '‘Cliarjés Jarre ; — 'I6* U ierre\târre; — t6*Galon*3arref-> II* Louis J a r re ;— 18 'Marie- Mqrouexitp'^iisitbelh B |^tambois, veuve'eii prq* migre» noce» de Jéap Baptintc Jarre, el é(H>use rit se^fdrii'iiôçes Je ÇlaMde Ronneian. — Denxiç* lbë^'ffit,'èl que ne connaissant pa» lopte» le!» peë* sliimès «Iü‘chtf d'esquelle» il poiirëait être rrui ' des iiiscripijoqs pojir raison d’hypothèques légal* ndtiêAtbiséffo de ^ ^ tm o n l ferait publier ladite
‘-mémeiit à la lol« '‘Pour insertion.
Signé Jules tdx iia t.
A«t . a*'i id îf# llm M it ' Senlifl (Ollarb)
DÉCLARAtia» Dl^ FAILLItR.D’on jugeUteitt rcàidu par le.lrUmni,i de pët*-
IDiiire • Ipstaiice séant à Sunlis (Oise), f«Uani fbnc.llons de"tribiinal «le comin«'r«;e, le iliK-hiiit mai Mil huit cent qoaranle*n(>iiT, unri’gistré,
A été extrait ce qui suit ;Le tribunal déclare le sinnr.Charb-m gi'* Itl-'ir-
chand. épicier et aubergiste, ilvinentaiit a MO'iil"- giion, ciiiloii «le N.uiteuiMe*lfâu(loijiii, <u éiai «b? faillite i
F«xft provlsolreitiml la cessation «le »e» pair-= inents au quinzi* mai tS j9 .
tespense de l’appo-iiiou d**» St-ellé*, «lit q«i'i} sera Jiumédiati'meiil procédé à rinvtutairc «le Inactif du failli,
'ÿl«>tDme 5l. Dambvy, jngp-c«»niTO«fc »i'-< «te t-'l faillite! et pour »jfti<ft« U’icrll»i M. And'é Ânln rlr
t’îhfiii, orilMîiie'l(> ité| oJ «1« lâ pardonne ilu f..iHi i 'ii iu niaisfiii (l'ari^i d« la villi^ilrS'‘ulis.
iiiüpriinii.•Lx r t i r ntii tHf^ùtiat,
Signé BoucuRn.
A ttt. 3 .* n T r lb ü M r t « « S é n lk i
A V I SAti\ rréanriera préiiiithés «Irt »i<‘nr Caaiti.RMA&üE
Rusnomnié, déclaré on élRl dofalllile, par^ugo- iuoni du Iribiinal de Seidis » dn diR>huit mai mil liiiil ceni qiiaraNlo*ncuf, sont irrités à se Irbiivor le vendredi (|OinÉe juin 1849 . heure de midi, on la cliainlircdü coiisoil dudil irilntual, sise à Soidis, au |ialais de jnsiioc, rue ffoav«*de-Paris ; pour y doniitr leur avis, tant sttrla eninpositioii deTélai dos créanciers, que sur U nontibatidii d*un on do plusieurs svndics déliiiilifs de la faillite » ou r Lé* vtilion de I atliclo IS? du code dë cdttamerce.
Seulis« le vingt-trois mai 1%i9.Le juî^e-cûmniissaire ite là /ai/liU,
Sigtié DAMBaY.Enregistré à Si'idis , le 3A mai 1849, reçu un
franc dik centimes, dikième cobipris.Signé BoRneVal.
t^our insorlioii./,o §rei^tr àu triùanal.
Signé Boucubu.
A rt . 4*« r e f f e dm T rilM U ua « e ScmUii ( • ! • • ) •
CLdlUnS DES véaiFlCATIONS.
AV ISAnx créanciers présumés du sîenr Loitis-Maris
VOISIN. maître charpentier e t cabarêlier àCroil-snrOise, failli.Los créanciers présumés du sieur Voisin * sus*
tiomoié. sont prévenus qu’un dornior délai de quinzaine leur est accordé à i^effol de produire à AL AuborI, ancien buissior, domonraul à S'ulis. syndic d<* la falllilo, leurs litre» île créances contre le sieur Voisin, avec bordereau indicatif sur lim- bfo.
R«i conséquence, ils sont invités à se présenter dans ledit délai, et à se trouver, au plus lard, le vendreili vingt-deux juin 1819, ln*ure de midi, en la chambre du qouseil du tribunal de Srnilis, au palais de justice, pour la vérification et l’affirmation de leurs créances, devant Al. Dambry, juge- commissaire de ladite faillite.
La clôture dn procèi-verbal anra lien immédis' tement.
Senlis, le vingt-trois mai 1819./.r ffrtjfier du trihunalf
Signé Boucher.Etiregistré à Senlis, le vingt-quatre mai 1849.
f 81, V* , c. 2. Reçu un franc dix centimes, dixième compris.
Signé Bokmeval.Pour insertimi.
Signé Boocntn.
A r t . 5 .«iMiTe 4fai T rihm m ia (e to r ) .
oniion «le l’article 402 iln ccâo le commercé,A S'ulis, le vingt-trois mai lS49.
. Le Juge^commisteiire de la faillite. Signé l>AMBRT.
Enregistré à Senlis. le 28' mat* 1849; reçu tin franc dik centimes^ dikUme compris.
Sigité BoRREVAt;ÎNtur insertion.
Le gerffiet dm trihmaai,' Signé Bdihceb| .
A r t . 7f ir e f in 4m M ln im ir i 4m B ca lto (« to e .)
DECLARATION DE FAILLITE.D’nn jugement rendu par le liibunal de pre
mière instance séant à Senlis, faisant fonctions de tribunal de commerce, le dix-huit niai mil huit cent quarante-neuf, enregistré,
A été extrait ce qni suit :Le tribunal déclare le sieur LEFEVRE dit
Prinet, voiturier, demeurant à Senlis, en état de faillitev
Fike provisoirem ^t la cessation de scs paie- tnents> éti seize janvier 184 7,
Dispense de rapposilion des scellés, dit qu’il sera immé^llatement procédé à l’inventaire de l’actif du failli.
Nomme M- Dambry. jngc commissaire de la la faillite, et pour syndic d’icelle Al. André Au* bert, propriétaire à Senlis,
Enfin, ordonne le dépôt de la personne du failli en la'maiscm d’arrét de ta ville de Senlis.
Pour insertion.Le greffier du tribunal.
Signé Boucueb.
A r t . 6 .«tveflieéliB TrAfcmpaiil 4m BmmHu ( la m ) .
COIICOaOAT»
AVISAnx Créanciers admjs au passif de la faillite du
sieur EumanUbl DETRB, marchaud forain, de- menrant.â Boran.Les créanciers admis an pamif de la faillite dii
sieur Détré. sojit invités à se trouver le aatnedi. seize juin 1849kimure de midi, eu la chambre du conseil du tribunal de Senlis, sise au palais.^de jnstice, à l’effet d^eiiteiidre le rapport du syudto sur la situation de la faillite, délibérer sur les propositions de concordat qui poqvraieni ôifé faites par le failli, sinon passer outre au contrat d’union, te toiii en exéctiiion dn diiipitre 6 titre I**, livre 8 dn Mde de commerce. /
La rfanion sera présidée |iâr H 'Itatnbrjÿ jttgé-' commissaire.
Senlis, le vingt-trois mai 1849.Le greffier dm tr^unal.
Signé BoticaEE. Ibiregistré à Senlis, le viugt-qaalre usai 4819,
P 80, V* , c. 8 . n çii nn-franc dix centimes, dixièmè Gompiis.
Signé BoHnevai., Pour insertion.
Signé Bodchee.
A ftf, to .Elbdc de M ttRNRi DDf‘AY,avoiiéà$^iiri«(tli^e)*
rucSaint-liiUiro, 10 .
S é P A R A T K m D E B IE N S .D’un jugement contniillctolrcmeiit rendu par
Ict tiibunal civil de première Insiatice séant à Senlis, le Vingt-deux mai 1849, «nreglstré,
llappe it'lQue madame Elisabeth Bnaéllle» éponkO 'do Mk
Jeaii'Frémoifl Buivin; aubergiste cl cultivateur» avec leqaelelledemënreà Püiseuk-le-Hatit-Berger,
A étéséparée quant Aux biens de Al. Jean-Fié- moiiiBoivin, son mari. '
Pour extrait certifié cénfbrme dressé en conformité de l’art. 872 dn codé de procédure civile.
A Sènlis, le vingt-six maiT849.Signé Henri-Ddpat.
Enrq^slré & Senlis, le vingt-six mai 1849. Reçu uu franc e t dix centimes de tiécime.
, Signé Bosreval.Pour itisCrtioh.
Signé Henri Dpfat.
A rt . s .Ctroflie < M T rlfcm m ia4e8em lâs(S lue).
CLÔTURE DES VéElFIGATIOUS.
A V I SAox ciéaneiers présumés duvsieur JsAii-FaéiioiiT
ROIVIN, aubergiste, reUyrur e t cultivateur, demeurant à Puiseux-le-Haot-Berger, failli.
A V ISAux cré.vneiprs présnméé du sienr NtcoLssLoviB
NAZE, marinier et aubergiste, demeurant à Saint-Leu-d’Esserent, failli.Les créanciers pié^nmés du sieur Nsze, .sus
nommé, déclaré en état de faillite, par jugement du tribunal de Senlis, du huit mai mil huit cent quarante-neuf, eur/gistré, sont invités à se trouver le lundi onze juin 1849, heure de midi, en la chambre do conseil dndii tribonal, sise à Senlii, an palais de justice, rde Neuve-de-Parîs;''ponr y donner leur avis, tant sur la composition dé l’élét des créanciers que sur la nomination d’on on de plusicors syndics définitifs de la faillite, en cxé-
Les créanciers présumés dudit sieur Boivin • susnommé, sont prévenus qu’on dernier, délai de quinzaine leur est accordé à l’effet do prodnira à M. Aubert, ancien huissier, demeurant à Senlis, syndic de la faillite, leurs litres de créances contre le sieur Boivin, avec nn bordereau sur timbre., ,
Eu conséquence, Ils sont in v it^ à se pfésêti- ler dans ledit délai, et à se trouver, au plus le lundi dix-huit juin 1849, lieure de jsSii|i« eu 7 chambre du conseil du Iri^n a ld e Seidia, au pa||i de justice, pour la vérification e t l’affit ina|iai|t «je leurs créances, devant Al. pi-zouLjugesupplâiM, commissaire de ladite faillite.
|.a clôture du procès-verbal aura lieu imuii^à- tement.
Senlis, le vingt-trois mai fS49.Le greffier dm tribunal,
S^ué SqucuER. Enregistré à Senlis, le vingt-quatre nui 1 8 ^ ,
P 81, V* c. 4, reçu un franc dix centimes, dixième compris.
Signé Borreval.Pour insertion,
Sigué Bodcbei.
C tn ffeA r t . ,9 .
4m TrMSanaal 4m BmsHu (•Asie.)
DÉCHET DU 22 AOUT 1848.Article 4^3 du Code de Coaemerce.
U Q U I D A n O N V A I U A M T .
C M T iJ R E m sM w v m m c M f n m m i
LouisPont-
AVISAnx Créanciers présumés do sieur
VAILLANT, marinier, demeurant à Sainte-Maxeoce.Les délais pour la production des titrel daitlla
liquidation judiciaire do sieur yailîant susnouutféj sont expirés. *** V
Un dernier délai de qointaitie est accordé I IfUt créanciers ù l’effet de déposer ledré litresJ4 ^ créaôoM avec bot^efèau sur limbim indieaiif de la 's^ m e réclanaép, entre les mains de H- LÜ êf. b u iis irr , demeurant k Pout-Saint^Haxsfiou^ syndic de ladite liquidation, qui procédera'ii diatemetit à là vérification des ciéànces..
Le samedi vingt-trois juin prochain, heure *de midi, il sera procédé en la chambre du conseil du tribitoal de m Iîs, e t devant M. Dambry, j u ^ comaiissèire de ladite liquidation, à l’affirmation des créances restant à vérifier.
A l’expiration dn nouveau délai, tes créanciera ne pourront être admis qu’à leurs frais.
A Senlis, le vingt-trois mai 1849^Le greffier dm tribunal,
Signé Boocure. Enregistré a Senlis, le vingt-quatre mai 1849,
P 80, V* , c. 6 . Reçu un fraoo dix ccnlipuies, dixième compris.
Signé BoHRETAt.Four insertion.
Signé BiMxmBR.
A r t . 1 1 4Elude de M* AUBERT, avoué à Senlis, 10,
rue Rougemaille, snccessenr de||'*CqpR*ssON et Bezout.
V B l f t Bsua FOLLE ENCRERE,
En faudienee des criées du tribunal civil de
Avruu
Senlis, au palais dejustice.Le Mardi 12 Jüiii 1849, à midi,
0 ) * t i i r B m à M < my sMrteu— » JuEiWm e i A ép em Jidom eea,
Sise à Vrors, rmedela Sàblotimére, canton de Bett,
Mise à Prix. . . . . 5oo fr.Cette maison avait été adjogée le 25 mars der
nier. moyeunant 2 ,0 1 0 francs.^adresser pour les renseignements, è
M* Adeeet.
. A r t . 12. ADJUDICATION SUR UCITATION
ENTRE MAJElIEa,E n Cètude et par le mmistire de BP L E C E R F ,
notaire à Loutres,Le Dimanche 3 Juin 18491 heure de m idi,
g n u n m b e b o i sContenant eBxiron 33 hectares »
Située terroir de Survilliers (Seine • e t • Oise), à proxiuiité de Cbuntillg et BBortefisniaine,
D’nu bon produit, et oBrant une chaose gibi^eiise. M ElisehpH*» » •
Facilités, de paieiuMl. . >S'adresser à II* Massion , notaire à P a ris ,
place de la Boursei 9,E t audit BÎ* L ece rf, uofaire à Loutres (Seine»
et-Oisâ,l .. 1 - ■ '
A i i i l M
Sises, à Senlis^Rues de CJppori-aU'Pam et des Couteliers ; de
Beuutais, Saint?yoes-à’tA rg en t e t des Bordeaux, et dm Carrefour Saint-Rieult UNE PIÈCE DE TERRE ET UNE
PIÈCE DE BOIS,Sises à Chammnt,
PAR ADJODICAriON VOLONTAIRE,En Fitude et par le mùii«/ère de M* Ghartier,
notaire à Senlis,Le Dimancbe 3 Juin 1849, à dix heures du
matin.On ponrra'iraiter avant l’adjndiealion, de l’une
o u d e i’antre des Maisons et Pièces de terre cl bois, s^il e it fait des offres suffisantes.
B y a toute sfireté pour acqnérir.On accordera dcs factirtes pour le paiement
S*adresser audit M* Cuarttbr , nottdre.
Etude de M* GARON, notaire aGhautilly.
A V EN D R EPAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,
Par le nûnistère de M* Caron', nptaire à Chantilly, En l’une des salles de l’bôtel dn Graiid-Ceif,
à GbitHiliy,Le D in tan p ^ 3 ju jd i,
de B e tt,Sltefeoinmutié de Cuveÿ,mofum leu VofpswRi u 4 . .m ............
Le loni d’une .cooitnRfMo de TSheotares , j 88areà.70eeetiares( .
UNE PIECE DES û t t ir M i‘‘C l^ 4 U t%
n> « 2 2 1
s» O N M A R A I SSitué même terroir; '
ContëhRnt I lièirlare o t are» 89 centiarétl
IJlSIKJttAISOllfXT sép sp n a A iio sa ,
Sues àC iunItH giGonhne soils le nom de PostE aux Cubvaux;.
5** ET UN TERRAINSitué en face ladite mèison , et tenant d la
Pelante,
L’ônJUDiCATiOR R u rq lieu sur les misck à prix ci-après,'sp,voir : . '
La Fermu lel les Terrés en dcpendani, . • • .
La Prairie de Gouvieiix, •Le Marais Gampion, .E t la Maiàon a Cliantilly
et les Terrairis en facé,
i 5o ,qoo f . |5o,ooo !(i;ooo ,
Bb.uonUne seule enchère suffira, pour q d i l g ait
adjùdtcàtion.S’adresser, pour It^ rrns|^iipm ents :I* A M* C anon, noiaifè à ï& n iilly , dépositaire
des titres et dn cahier des chârgM;2* A M* Esséa, hdta.ièea P a r is , bonlèvard
Siint-Martiii. et rue Mesîay, 38; *3'* El à M* Moulinneup, avoué a Paris , roe
Montmartre, 39.ii ii i'Vl
' A c É a r a t - ' in B « in i - K 'OIE EXPLDRinei l i lE l lX C U IlüE S ,
E n 'parfait étaVet bien' montée, ■Dans uné ville.
S'adresser pour tout renseignements, à M* T assant, notaire à Crépg,' _____________
Etude de M* CAILLET, notaire à Betx (Oise.)
a d ju d ic a t iOiT v o l o n t a ir eEn Félude et par le ministère de M* C aillet • notaire
à B its,Le Dimanriie 17 Juin 1849 , a midi,
d ’u n e l i a i s o nSite à Grandehamp, commune de Cuvergnon,
ET DE5 HECTARES 56 ARES 3 CENTIARES
DB TB B B E Sur les terroirs de Cuuergnon, Tkurjf, Bàrgny
et Bvors, en dtx-neuf pièces.
On accordera de grande» facdités pour le paiement.On poarra traiter avant l’ai^ndiratloa, s’il est fait
des offres suffisante».S'adresser à RI* G aillet, notaire à Bett.
vatXB UCUfSUÉKnA GILLOCODNT,
Après le décès de madame veuve Fontaine,En la maison qu’elle habitait «s u r la plaoe da >
cluliean,P arle mùtiitère de M. LlBGDiLLON, é«w ârr d
Crépit, ' ' {■Le Dimanche 3 Juin 184 9, è II hcnres du matin, ,
et jçnrs a^iyatits. Lg Fejite lùtra lièu au tjbjwgtoal.
i b s m m: élastiqHasÿ ea caont-cbooe, àveê ou'saasiactrvs pressmo, ferme, r^ollère cl contiauç, soolagemeal 1 prompt et souvent guérison.'Envoyer des miMurci j exacics. l^Mnaacie. LEVEapantL, fsnbonqi; Mont-- | inaiire, 7&-*-q8 , à Paris, et dans toutes les pbarnia- !-.-1. - ' ' ^cîes bien Es»ortîé» des départèmèài».
icAiTrz ô à BBxrvs.Eau du docteur Cl^more^de-Londres,
Cette eau,-généralement adoptée par les mvlllenEs , dcolisles de A ris , est la scble de todtiés celleS.iaven- tée» jusqu’à ce jour, qni joigne à la propriété de cal>ijropriétémer et de gnérir, celle de ne pas être oésagréable cl nuisible à Ta bouche.
dans. à Senlif, çhes M. Lerlerçq,.pharsqacic.n2 vt ^m ri|^uw j|h flnnacî^ |n^^artf^
SEFftJS, sa mai, — Froment, 1.** qulilé, lO f. OS €.; — »^, tO t. iS c.; — S^lc, 8 f. oo c.]— Avoiae, Sf3Sc.
PONT, i8 mat. Fromeati i** qmlicé, l8 f. eo c.;— »**, tS f. 6o c .;~ 3**, iSf. oo c.» Blé moitso, i3f. x6 c.; — Métcil, l'TqMljtç, i» f. opc.t— »**,— Smcle, 8 f. do c.;’ Orge, ^ f. 7S c.; — AtImm,' i** .**t4. . . .. té, S f. 3S c.; — »••, S f.-oo e.
CRÉPTi igmai. FMmeal 1** qiMdHét »&«- 3S e.;--t i r. O. 0 W M .r-
8S c.t — ATome, 5 1. 3S c. . ..,
ETAT:xaaaL:nE:8BN^FL ' Ü/aihanees,
8»rr*«te Asviâ-RoM). D ^ r d (tonb^ncoit^EdaMC BonsveitlNre (UnisMiUif). CogàasSon (lamîsEagèné).
Pilorgec (tfRrgneriCe-Mididle), vcuf» ftollot, 88 ans. FUaUCATIONS DR MARUGES/
Entra le sienr FMme (Edmwrd-AmbmiM), Jardinier i | SénlU; et dame Lcscnevln (tUrie-Gatheriae), a* balmllinghe À Senti». .~ T A a x D t iV A
à i r t N a r n . p . . . . — , ~ —------- , — r —xjT '". _____— L n |MrMnn.é «jm IMllMt 1 * p tii qaa Wi diiB.nii«MDfr,poaUé*.i—X>llsEAU DÈ UOB . ( r t l . a u s i I. choie de. cUéeeui'. — F Ikoo A S 'frtne* (Mnc4.— S’odrenar *M. tia p o U lO B , eb im u tt, .oo Snlnr-Hoiiood. »• H ! » *
l'IihMréat^dl
fTafar mens ÊÊsdrede ta wUledegenlitf.penr tègaU^ êothn de la stgneSnre de M, Regnier, apposée k Fort,
